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Auteur : Héléna Revil
Grenoble, Odenore, Septembre 2005
Collection : Étude n° 1
Langue : français
Mémoire de Master dirigé par Philippe Warin
Destinataires : IEP Lyon, Conseil général de l'Isère
Méthodes : Enquête par voie postale auprès de 1 200 personnes, analyse de 313 questionnaires exploitables, suivi d'entretiens téléphoniques auprès de 50 personnes
Échelle : Département
Résultats principaux : Le non recours au contrat d'insertion peut provenir de l'individu et relever, du même coup, d'une analyse comportementale. Il est, à ce moment là, largement lié aux représentations des individus et à leurs situations. Il est cependant nécessaire de distinguer les individus qui vont chercher seuls des solutions alternatives, de ceux qui renoncent et s'enfoncent dans une situation de désocialisation. Le non recours peut aussi provenir des dysfonctionnements institutionnels tels que les problèmes d'informations, de délais, de mise assez là jour des fichiers informatiques. Le recours ou le non recours au contrat d'insertion dépend également des représentations que les travailleurs sociaux ont du dispositif RMI, de leur pratiques professionnelles en matière de contractualisation et des consignes données par leurs hiérarchies. La motivation des travailleurs sociaux en ce qui concerne le dispositif du RMI et notamment l'insertion professionnelle des allocataires apparaît comme un élément déterminant pour expliquer la non contractualisation.
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